CAF : Bouchammaoui, démission ou éviction ?
La publication de la nouvelle composition des différentes commissions et organes pour les deux années à venir a confirmé définitivement, le remplacement de Tarek Bouchamaoui à la tête de la commission d’arbitrage par le soudanais Magdi Shams El Din.
Ce retrait de monsieur Bouchammaoui reste assez énigmatique, puisque certaines sources parlent de démission alors que d’autres parlent d’éviction.
Pour “les démissionnaires” (défenseurs de la thèse de la démission) représentés par des organes de presse tel que “Mosaïque” et “Assarih”, l’homme d’affaire tunisien avait présenté sa démission depuis 3 mois, pour des raisons personnelles et professionnelles, et Issa Hayaatou ne faisait qu’attendre le moment opportun pour faire l’annonce. Pour preuve de la bonne foi de la CAF vis à vis de Bouchammaoui, les “démissionnaires » avancent que le soudanais Shams El Din a été nommé par Bouchammaoui lui même au détriment d’Constant Omari Selemani protégé de Moise Katumbi, le très controversé président de TP Mazambe.
Pour les “evictionnaires” (partisans de la these de l’éviction), Bouchammaoui a payé cash, les fautes commises par l’arbitre du match EST-JSMB le guinéen Yakouba Diarra qui ont provoqué une grande compagne de dénigrement, menée par les journaux égyptiens et algériens, et relayée par le deuxième homme le plus fort de la CAF l’algérien Mohammed Raouraoua. Pour preuve “les evictionnaires” avancent la date de l’annonce de son retrait, une semaine avant l’annonce officielle des compositions des commissions.
En tout cas évincé ou démissionnaire, le remplacement de Tarak Bouchammaoui à la tête de la commission d’arbitrage est une grosse perte pour le foot tunisien dans toutes ses composantes.
Ce retrait de monsieur Bouchammaoui reste assez énigmatique, puisque certaines sources parlent de démission alors que d’autres parlent d’éviction.
Pour “les démissionnaires” (défenseurs de la thèse de la démission) représentés par des organes de presse tel que “Mosaïque” et “Assarih”, l’homme d’affaire tunisien avait présenté sa démission depuis 3 mois, pour des raisons personnelles et professionnelles, et Issa Hayaatou ne faisait qu’attendre le moment opportun pour faire l’annonce. Pour preuve de la bonne foi de la CAF vis à vis de Bouchammaoui, les “démissionnaires » avancent que le soudanais Shams El Din a été nommé par Bouchammaoui lui même au détriment d’Constant Omari Selemani protégé de Moise Katumbi, le très controversé président de TP Mazambe.
Pour les “evictionnaires” (partisans de la these de l’éviction), Bouchammaoui a payé cash, les fautes commises par l’arbitre du match EST-JSMB le guinéen Yakouba Diarra qui ont provoqué une grande compagne de dénigrement, menée par les journaux égyptiens et algériens, et relayée par le deuxième homme le plus fort de la CAF l’algérien Mohammed Raouraoua. Pour preuve “les evictionnaires” avancent la date de l’annonce de son retrait, une semaine avant l’annonce officielle des compositions des commissions.
En tout cas évincé ou démissionnaire, le remplacement de Tarak Bouchammaoui à la tête de la commission d’arbitrage est une grosse perte pour le foot tunisien dans toutes ses composantes.
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